Maurice Cuvillier a adapté beaucoup de contes pour les films fixes. Si les plus récents comportent les dessins et les bulles auxquelles nous sommes habitués, ce n’est pas le cas dans ses premières réalisations. En effet, dans plusieurs histoires (comme Le Petit Poucet, Le loup et les 7 chevreaux, Le loup et l’agneau, Le chat botté), on retrouve la formule ancienne de juxtaposition des textes explicatifs et des dessins sans paroles. Pour en juger, je vous mets quelques extraits du Petit Poucet (l’ensemble donne un résultat un peu sombre).
