La même année, Cuvillier utilise ce gag où un échassier macule de peinture un tableau, ce qui permet au peintre d’obtenir un beau résultat. Paru d’abord dans le n°1475 du PETIT ILLUSTRE du 15 janvier 1933 (page 2), il se retrouve dans les pages du n°15 de COEURS VAILLANTS du 16 avril 1933 (page 3).