En général, une aventure de Moky et Poupy couvrait 20 planches. L’histoire paraissait d’abord dans un hebdomadaire (d’abord Âmes Vaillantes, puis Coeurs Vaillants et enfin Fripounet et Marisette) avant de sortir en album. Mais il est arrivé que certaines histoires comprenaient moins de 20 planches. Elles n’étaient alors pas reprises en album. L’une d’elles a fait l’objet d’une réédition chez le Triomphe (en 2007), dans la collection « Les trésors de Chouette-Mâ-Mâ » : il s’agit du Voleur de plumes, en 16 planches, qui fut également la dernière aventure publiée dans Coeurs Vaillants. C’est en effet à partir de 1961 que nos deux petits Indiens apparaîtront dans la revue Fripounet et Marisette, à travers une histoire, Nestor se fâche, restée inédite en album puisque ne comprenant que 12 planches. Or, comme il y a peu de chances qu’elle soit rééditée, j’aimerais en faire profiter les lecteurs de BDtroc, dans un format qui permette une bonne lisibilité. Bonne lecture donc.
A suivre…
Normal, puisque je viens de la réaliser, telle que aurait pu être si l’histoire avait paru en album.
Quel régal !
Merci Marc, grand connaisseur de Moky et Poupy devant l’Eternel…
Il va falloir que je crée sur ce site un espace dédié à nos petits indiens.
En attendant, le forum est tout indiqué !
On a hâte de connaitre la suite de ces révélations !
Jean-Michel
Cette histoire figure dans notre listing comme l’épisode 23 et je l’ai intitulé pour ma part “LE COUSIN ANATOLE”.
Si tout va bien, une fois que nous aurons publié tous les inédits et que le Triomphe aura épuisé ses stocks, nous reprendrons cette histoire dans les premières intégrales chronologiques.
Dans les inédits noyés au milieux des premiers épisodes de 20 planches qui existent en albums, il y a aussi une histoire de 8 pages appelée “JOSEPHINE A DISPARUE” parue dans FRIPOUNET en 1964 (du 44 au 47).
Cette histoire servait de support à un concours.
Michaël
Editions PLOTCH SPLAF
J’arrive après la bataille, car le forum parle déjà de “JOSEPHINE A DISPARU”.
Je poursuis fidèlement le chemin de Marc, vu que j’ai fait la même faute que lui au titre (“disparu” avec un “e” à la fin, ouille !).
